To be Continued ... Owen

Je perd complètement la tête, j'ai embrasser une autre femme, parce que Léa ne me répond pas, mon fils m'incendie.
Je rentre en Angleterre, et le pot de colle de blonde, me suit à la trace alors que je lui ai fait comprendre que j'en ai rien à foutre d'elle.

J'arrive à l'aéroport, mais je ne sais plus ou je dois aller, c'est alors que je vois James, vraiment différent, très en colère.

J'attends mon père à l'aéroport je ne sais même pas pourquoi je suis là, j'aurais jamais du venir, j'ai même pas envie de le voir.
Je le vois arriver et je marche vers lui et lui prend le col de sa chemise

Ne t'approche plus jamais de maman

Je le lâche et je pars dans ma voiture frappant plusieurs fois contre mon volant

J'ai perdu ma famille, alors que j'étais partie pour pouvoir la récupéré.

Je part de l'aéroport, et fini par aller près de la Tamise, toujours la blonde à mes talons. Je soupir, et je continue de marcher... La nuit commence à tomber, et la blonde est enfin partie, ce n'est pas trop tôt.

La Tamise m'appelle beaucoup, j'ai tout perdu alors à quoi bon rester dans se putain de monde à la con.

James était rentré et m'apprends ce qu'il a fait, il est aussi impulsif que l'était son père a son âge.
Je lui laisse les enfants je pars, je ne sais pas vraiment où dans un sens je n'ai pas envie de le voir, ce qu'il a fait ma fait mal.
Je longe la Tamise regardant le ciel qui ce couvre petit à petit et je chantonne un peu

Je fonce dans quelqu'un je relève la tête et je vois Léa. A moins que c'est mon imagination qui me joue encore des tours.

- Pardon...

Je repend ma route, et me stop, m'assoit sur le bord, et je regarde l'eau, je vais sauter, je le sais.

Jeme fais heurté par quelqu'un et je le vois owen.

Pardon...

Il part, je n'avais que le droit a un simple pardon alors. Je le regarde le voyant s'assoir un peu plus loin et je m'approche laissant tomber près de lui un carnet avec les photos des enfants depuis deux mois et sa chevalière et je reprends la route, du moins je vais pas très loin mon corps m'en emp^che

Je regarde l'album de photo, les filles ont bien grandit, ils ont tous bien grandit, et on l'air bien heureux, sans moi. Je le repose, joue un peu avec ma chevalière, mais je la pose aussi. Je regarde de nouveau l'eau, et sans trop savoir pourquoi, je me lève ramasse les affaires, et je continue de marcher, alors que j'ai envie de rejoindre les poissons.
Je regarde Léa enfin son dos, elle n'étais pas partie, et pourtant je ne sais pas si j'ai encore le droit d'aller près d'elle.

je reste la ou je suis fermant les yeux levant la tête au ciel laissant les première gouttes de pluie orageuse tombé sur moi.
Après un moment et avant qu'il me touche j'ouvre les yeux et il ce stop lui qui ne voulait plus qu'on soit loin, j'ai l'impression qu'on a des extrémité différente, et qu'il la fait, en partant en italie

Je la regarde, et lui remet sa mèche rebelle derrière l'oreille, et la pluie tombe à torrent.
Je reste silencieux, dire quelque chose ne servirai à rien.
Elle m'a manqué, mais elle est surement mieux sans moi...

Je le regarde et je pose mon front contre son torse j'arrivais même pas a lui dire les horreur que j'ai en tête, a l'engueler je suis minable

Je la serre fort contre moi, je voudrais tellement lui dire tout ce que j'avais sur le coeur, mais je n'arrive pas à parler.
Deux mois, j'étais partie de mois, alors que je voulais revenir une semaine voir deux, mais pas autant...
La pluie ne cesse de tomber, et il y a même l'orage qui éclate.

je reste dans ses bras, je suis vraiment pathétique mais je me décale de lui et lui adresse aucun regard, pas en entendant cette voix féminine l'appeler et en le voyant partir vers elle.
Je pars en courant chez moi et je me sèche, je regarde mon fils avec son fils qui dormait le petit sur le torse du grand et je souris

Les jours passent et j'ai vraiment couper les ponts avec tout le monde, et j'avais pris une décision, partir, partir de se monde.

J'ai pris des cachets, et maintenant j'ai plus qu'à aller dans l'eau.
Je part dans sur le bord de la Tamise, il y a peu de monde, vu l'heure... 4h du matin.

une nuit je regarde mes enfants et James e regarde partir, je devais prendre l'air, je me sens étouffé en ce moment.
Je vais comme a mon habitude sur les bords de la Tamise, ce lieu m'apaisait, et je marche jusqu'a le voir. Je me dirige vers lui et me met face a lui avant qu'il face uen connerie et je le gifle

Je me prend une gifle en pleine face, mais je me met à pleurer.

- Laisse moi, laisse moi partir, sa serre à rien que je vive sans toi et les enfants dans ma vie...

- C'est toi qui nous en éjecte ... penses tu
au moins au enfants, je n'ais fait que leur mentir depuis deux mois
alors tu vas bouger ton cul et allé les voir ... tu es leur père merde
- Non, j'ai jamais voulu vous éjectez. Tu ne m'as jamais répondu à mes lettres.... Oui je penses à eux, et ils ont l'air bien sans moi...

Je sens les effets des médicaments, et ma vue se trouble et j'ai la tête qui tourne.

Non, j'ai jamais
voulu vous éjectez. Tu ne m'as jamais répondu à mes lettres.... Oui je
penses à eux, et ils ont l'air bien sans moi...

Je le gifle encore une fois et je le rattrape quand il penche trop vers moi.
Je le conduis à l'hôpital et il lui fond un lavage d'estomac.
J'attends patiemment sur une fauteuil près du lit et je regarde dehors, il pleuvait de nouveau

Je comprend plus rien à ce qui m'arrive et quand j'ouvre les yeux je suis à l'hôpital, mais je les ferme aussitôt. Je n'ai pas envie d'affronter le regarde de Léa.

je joue avec mon pendentif en l'attendant et uen infrimière me ramène du thé.
Je reste là toute la nuit a attendre et j'y reste encore et il finit par ouvrir les yeux.
Je m'approche de lui et l'aide a ce redresser pour qu'il boive un peu d'eau

Après avoir bu un peu, je regarde Léa. Je voulais lui dire que je suis désolé, mais à quoi bon, elle ne pourrai plus me pardonner, plus maintenant...
Je baisse la tête, j'ai honte tellement honte...

Je caresse ses cheveux et l'embrasse sur le front, je vais a la porte disant qu'il était réveillé et je reviens prêt de lui, on attend un peu et je m'assois sur le bord du lit et je le fais manger, j'étais douce

Je ne la comprend pas, elle devrait être furieuse contre moi, vu que je le suis moi... A la place elle me fait manger, elle prend soin de moi.
Après un moment je la regarde droit dans les yeux.

- Pourquoi tu fais ça Léa ?

Pourquoi tu fais ça Léa ?
car je suis ta femme ... j'ai signé pour le meilleur et pour le pire ...

Je range le plateau dans le couloir et je reviens près de lui, le faisant boire de nouveau. Il m'avait fait une fois de plus mal, mais j'en ai marre, je suis sa femme et j'ai un devoir a faire, je suis plus Léa mais femme et mère au foyer